Si on parlait Assurances ?

Le poney/cheval est un animal vivant et sensible : pratiquer l’équitation ou simplement s’en occuper n’est pas sans risque, même dans le cadre d’une leçon animée par un moniteur diplômé.

Il est donc indispensable d’être assuré pour d’éventuels dommages corporels.

Les cas de figure possibles :

Cavaliers réguliers

La licence fédérale (obligation liée à notre adhésion à la Fédération Française d’Équitation) comprend une assurance individuelle du cavalier avec des garanties de base.
Il sera cependant utile d’y adjoindre une assurance complémentaire pour des garanties plus élevées en cas d’accident grave.

Cavaliers de passage

En possession d’une assurance Individuelle Accident

Nous fournir une attestation en cours de validité avant la séance.

Ne possédant aucune assurance

Licence “verte” délivrée par la FFE, valable 1 mois : 10 €.

Et les accompagnants ?

Le risque zéro n’existe pas non plus pour eux, qu’ils aident au brossage des poneys ou qu’ils les tiennent en promenade et en cours Baby.
Il leur est donc vivement conseillé de s’assurer également.

Pour illustrer le propos, voici quelques extraits d’un document édité par l’Institut du Droit Équin :

La responsabilité civile du centre équestre ou de l’enseignant indépendant ne peut être engagée que si trois conditions sont présentes :

  1. Un dommage : (généralement corporel).
  2. Une faute : il appartient au cavalier victime de démontrer que n’ont pas été mis en œuvre tous les moyens à disposition pour animer une séance en toute sécurité et éviter un accident.
  3. Un lien de causalité : la faute doit être la cause directe et certaine du dommage.

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