« [dropcap]L[/dropcap]es François représentent leurs passions avec moins de violence [… ]
Les airs ne sont pas pour exciter la cholère, et plusieurs aultres passions, mais pour resjouyr l’esprit des auditeurs, et quelquefois les porter à la dévotion. »
Marin Mersenne, Lettre à Constantin Huygens, 14 novembre 1640